Le 4 décembre 2016, les Italiens ont voté massivement (environ 59%) contre le projet de réforme des institutions, soumis par le Premier ministre, Matteo Renzi. Marc Lazar, directeur du Centre d’histoire de Sciences Po et spécialiste de l’Italie, revient sur les raisons de l’échec de Matteo Renzi et ses conséquences politiques, institutionnelles et économiques pour le pays mais aussi au sein du Parti démocrate, qui sort plus divisé que jamais de ce scrutin.