Dans “Le Roman national des marques”, l’essayiste Raphaël Llorca montre comment la publicité parvient à raconter la France, soulignant en creux l’échec des politiques, à quelques exceptions près.
À 8h20, un Grand Entretien dédié à l’Iran, un an après la mort de Mahsa Amini et les manifestations qui ont suivi. Les actrices Golshifteh Farahani et Mina Kavani, l’avocate Chirinne Ardakani et le politologue Farid Vahid seront les invités de Léa Salamé et Nicolas Demorand.
Pour Jérémie Peltier, co-directeur de la Fondation Jean Jaurès, le désamour des Français pour leur travail est lié au refus de différer leur bonheur, mais également aux nouvelles manières de travailler. «Les jeunes actifs demandent simplement un “bon vieux bureau” et “un bon vieux salaire”.»
Le communicant associé à la Fondation Jean-Jaurès analyse, dans « Le Roman national des marques », qui paraît vendredi, le poids prépondérant des marques commerciales dans le récit national. Et, en creux, le recul du politique générateur d’un risque démocratique, explique-t-il dans un entretien au « Monde ».
Jérémie Peltier, codirecteur général de la Fondation Jean-Jaurès, se met dans la peau d’enfants qui effectuent leur première rentrée au collège.