Les 3 et 4 février 2011, la Fondation Jean-Jaurès et l’Association pour le socialisme démocratique (think tank indien) ont organisé à Delhi un colloque consacré aux limites de la démocratie représentative et à une réflexion autour des concepts de démocratie participative et de démocratie inclusive.
Jean-louis Bianco, député, président du Conseil général des Alpes-de-Haute-Provence et ancien ministre est intervenu pour la Fondation Jean-Jaurès. Il revient sur les enseignements qu’il a tiré de ce nouveau débat entre acteurs des deux pays.
Depuis plusieurs années, la coopération entre l’ADS et la Fondation Jean-Jaurès est fructueuse. Elle trouve son origine dans la volonté de la Fondation d’établir un partenariat dans cet immense pays démocratique, puissance régionale et internationale reconnue, diverse et intéressée au premier chef par la réflexion sur les conditions d’un monde multipolaire viable et par l’échange et la confrontation avec des représentants européens autour des différentes analyses des transformations générées par la mondialisation. Depuis quelques années, cette coopération s’est approfondie et élargie à d’autres composantes, notamment des élus et des responsables du Parti du Congrès indien. Elle se pérennise et s’affermit ainsi autours de thèmes choisis en fonction aussi de l’actualité ; ce, afin d’approfondir les comparaisons politiques, culturelles, économiques et sociales entre l’UE et l’Inde.
