Et si la solution à la crise démocratique passait par la mise en place du « jugement majoritaire » ? Ce mode de scrutin, inventé en 2002 par deux chercheurs du CNRS, amène l’électeur à évaluer chaque candidat à une élection en leur attribuant des mentions, de « à rejeter » jusqu’à « très bien », en passant par « bien », « assez bien » ou « passable ». On en a débattu à la Fondation, en partenariat avec le collectif « Mieux voter », avec Loïc Blondiaux et Chloé Ridel.
- Loïc Blondiaux est professeur de science politique à la Sorbonne, spécialiste de la démocratie participative et membre du Conseil d’administration du collectif Mieux voter ;
- Chloé Ridel, haute fonctionnaire, est membre du Groupe d’études géopolitiques de l’ENS et membre du Conseil d’administration du collectif Mieux voter.
La rencontre était animée par Marion Roth, directrice de Décider ensemble.