Pour un féminisme universel

« Intersectionnalité », « féminisme décolonial », « féminisme blanc », « féminisme marxiste », « nationalo-féminisme », « néo-féminisme »… : comment s’y retrouver aujourd’hui au sein des mouvements féministes? Martine Storti, philosophe, membre du Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes et militante féministe, décrypte dans son dernier essai d’un côté l’instrumentalisation faite par certain·e·s de l’intersectionnalité et de l’autre celle qui est faite du féminisme même à des fins identitaires par la droite et l’extrême droite ; elle y propose de reprendre le chantier du féminisme universel.

Elle en débat lors d’un entretien avec Juliette Clavière, directrice de l’Observatoire égalité femmes-hommes de la Fondation Jean-Jaurès. 

Martine Storti, Pour un féminisme universel (Éditions du Seuil, La République des idées, octobre 2020)

 

 

 

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