La montée de l’extrémisme violent – qu’il soit idéologique, politique ou religieux – est une source d’inquiétude dans la région des Balkans, causant de vives tensions et menaçant la sécurité et la stabilité de ces pays. Comme Lura Pollozhani, chercheuse à l’université de Graz, le souligne, si les facteurs sont multiples, les conséquences le sont aussi – banalisation de l’extrême droite, multiplication des discours de haine et des fake news, complotisme – et sont accentuées par la numérisation de la société.
Lura Pollozhani est interrogée par Florent Marciacq, co-directeur de l’Observatoire des Balkans de la Fondation Jean-Jaurès.
L’entretien est en anglais.