Victime d’une cabale politico-judiciaire organisée par la droite radicale, le Premier ministre espagnol Pedro Sánchez avait émis l’idée, dans une lettre ouverte, de démissionner, pour finalement se maintenir. Antoine de Laporte, expert associé à la Fondation et observateur de la vie politique espagnole, revient sur le contexte de cette situation et analyse ses possibles conséquences politiques.
Il est interrogé par Alexandre Minet, directeur du secteur International de la Fondation.