Alors que le pays est dirigé par un gouvernement d’extrême droite et populiste, comment le syndicalisme italien agit-il ? Comment, dans le contexte économique difficile du pays, les syndicats italiens peuvent-ils défendre les salariés et négocier ? L’Observatoire du dialogue social de la Fondation Jean-Jaurès en a débattu, avant les élections européennes, avec Giuseppe Iuliano, membre du Comité économique et social européen, et membre de la CISL, premier syndicat italien.
La rencontre était animée par Jean Grosset, directeur de l’Observatoire du dialogue social.