La fatigue informationnelle : une nouvelle forme de pénibilité au travail

Avec le développement des technologies numériques, une « fatigue informationnelle » émerge chez les actifs qui font face à un trop-plein d’informations. Quelles en sont les conséquences sur leur façon de vivre leur travail ? S’appuyant sur la deuxième vague de l’enquête sur la fatigue informationnelle, Sébastien Boulonne, Guénaëlle Gault et David Médioni montrent qu’il est urgent de repenser collectivement nos méthodes de travail et notre définition même du progrès et du bien-être professionnel. 

Les résultats de l’enquête « Fatigue informationnelle, vague 2 » de L’ObSoCo, la Fondation Jean-Jaurès et Arte sont analysés en trois parties, cette étude en constituant la dernière, après Monographie des pratiques médiatiques et sympathies politiques en France et L’exode informationnel.

Table des matières

Introduction
Un indicateur de fatigue informationnelle au travail
Un intérêt déclinant pour les médias
Les racines de la fatigue : des outils et des pratiques professionnelles à l’origine d’une surabondance d’informations
La FIT : des implications négatives dans son quotidien
FIT et engagement : cinq profils en entreprise
Conclusion : un équilibre numérique à trouver

Les auteurs :
Sébastien Boulonne
 est chargé d’études à L’ObSoCo.
Guénaëlle Gault est directrice générale de L’ObSoCo.
David Médioni est directeur de l’Observatoire des médias de la Fondation Jean-Jaurès.

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