La victoire à l’élection présidentielle du candidat d’extrême droite au Brésil, Jair Bolsonaro, ainsi que ses différentes prises de position, ont provoqué une très inquiétante augmentation de propos mais aussi d’actes racistes et sexistes. On en a débattu à la Fondation avec l’activiste brésilienne Djamila Ribeiro.
La Fondation, dans le cadre de la Semaine de l’Amérique latine et des Caraïbes, et en partenariat avec les Éditions Anacaona, Autres Brésils et le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, a organisé une rencontre sur le racisme et les violences sexistes au Brésil, autour de la philosophe et journaliste Djamila Ribeiro, référence du mouvement antiraciste, antisexiste et des droits LGBT au Brésil, à l’occasion de la parution en français de ses deux essais La Place de la parole noire et Chroniques sur le féminisme noir.
Était également présente Paula Anacaona, directrice des Éditions Anacaona.
Jean-Jacques Kourliandsky, directeur de l’Observatoire de l’Amérique latine de la Fondation, a introduit et conclu le débat, animé par Adèle Goliot, administratrice d’Autres Brésils.