En quelques années, le Maroc est devenu le deuxième investisseur africain sur le continent. Il a réintégré en 2017 l’Union africaine après plus de trente ans de retrait et a également émis le souhait de rejoindre la CEDEAO, la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest. Pourquoi le royaume chérifien a-t-il fait le choix d’accroître son influence en Afrique subsaharienne ? Comment s’exprime et que signifie cette offensive à la fois culturelle, économique et politique ?
Pour en débattre, les observatoires de l’Afrique subsaharienne et de l’Afrique du Nord et du Moyen-Orient de la Fondation ont réuni :
- Omar Benjelloun, avocat et militant des droits de l’Homme, docteur en droit international du développement et enseignant à l’université internationale de Rabat,
- Louis-Simon Boileau, directeur de l’Observatoire de l’Afrique du Nord et du Moyen-Orient de la Fondation, doctorant au Ceri-Sciences Po,
- José Garçon, journaliste, spécialiste du Maghreb,
- Kako Nubukpo, directeur de l’Observatoire de l’Afrique subsaharienne de la Fondation, professeur titulaire des Facultés de sciences économiques, ancien ministre de la prospective du Togo > retrouvez sa note