Forte criminalité, influence des cartels… : la violence n’est pas une question nouvelle au Mexique, prégnante dès son indépendance et pendant la période du parti unique (du PRI), mais aussi depuis l’alternance démocratique en 2000. Léon Aceves, directeur du département de la formation de la Chambre des députés du Mexique, analyse les stratégies des différents exécutifs mises en place pour contrer ces violences. Il souligne le « problème systémique historique » que constitue cette violence et les défaillances institutionnelles importantes qui perdurent.
Léon Aceves est interrogé par Jean-Jacques Kourliandsky, directeur de l’Observatoire de l’Amérique latine de la Fondation.