Trente ans après la publication d’un essai consacré à la gauche latino-américaine et à son « futur » (Rivoluzione addio, coécrit avec Donato Di Santo), son coauteur Giancarlo Summa, journaliste, politiste (EHESS) et ancien directeur du Centre d’information des Nations unies (CINU) au Brésil et au Mexique, revient sur la genèse et l’objet du livre, et ce qu’il en est de cette – ces – gauche(s) aujourd’hui.
Il est interrogé par Jean-Jacques Kourliandsky, directeur de l’Observatoire de l’Amérique latine de la Fondation Jean-Jaurès.