Différents scrutins organisés les 15 et 16 mai derniers au Chili – assemblée constituante, maires, gouverneurs – ont bouleversé le paysage politique chilien et ses rapports de force. Juan-Pablo Pallamar, universitaire chilien et chercheur en géopolitique à l’Université Paris 13, livre son analyse sur la nature de ces changements et sur la suite du processus politique enclenché par le mouvement social d’octobre 2019.
Il est interrogé par Jean-Jacques Kourliandsky, directeur de l’Observatoire de l’Amérique latine de la Fondation Jean-Jaurès, et Alexandre Minet, coordinateur du secteur International de la Fondation.