Richard Ferrand, président de l’Assemblée nationale, revient dans Nos lieux communs sur la fracture qui sépare les Français des territoires « gagnants » de la mondialisation de ceux qui apparaissent comme les « perdants ». En plaidant pour un État fort, des collectivités libres et des citoyens engagés, l’auteur amène dans le débat public des pistes concrètes.
Table des matières
Avant-propos
Introduction
Quelques bizarreries territoriales
Outres vieilles et vieilles outrances
Pour un État proche, fort, puissant
L’État vécu par nos concitoyens dépasse largement l’État comme institution
Notre État a eu un début, il pourrait avoir une fin
Pour un État à qui l’on peut se fier, rassembleur et protecteur
Pour un État pleinement européen
Pour un État dont le fonctionnement est décidé en commun
Pourquoi ne pas…
Pour des collectivités territoriales pleinement libres
Des collectivités libres pour que le projet collectif prime sur l’organisation institutionnelle
Des collectivités libres pour accélérer le cercle vertueux entre services publics et démocratie locale
Des collectivités libres qui puissent exercer leurs responsabilités
Réinventer la commune pour la relation
Pourquoi ne pas…
Pour une société civile responsable, elle aussi
Des citoyens en responsabilité
Pourquoi ne pas…
Une conclusion provisoire : pour une nouvelle composition démocratique
Notre démocratie est en crise
Nos institutions semblent surtout préoccupées par elles-mêmes
Il n’y a pas d’homme providentiel : nous devons tous l’être
Il n’est d’autre énergie que celle des femmes et des hommes
Favorisons le dialogue civil et la coconstruction
Une nouvelle composition démocratique
Épilogue