Les ouvriers votent-ils vraiment massivement pour le Front national (FN) ? Par adhésion ou par dépit ? Et depuis quand ? La réalité et la progression de ce vote, dans toute sa complexité, sont décryptées au travers de regards d’historiens, de sociologues et de politologues.
La progression du Front national au sein de l’électorat populaire et ouvrier est-elle réelle ou fantasmée ? La question revient régulièrement après la tenue de chaque scrutin, au moment où chacun tente de décrypter les comportements électoraux. Pour aborder une relation et une évolution plus complexes qu’elles n’y paraissent, l’Observatoire des radicalités politiques de la Fondation Jean-Jaurès a croisé les regards d’historiens, de politologues et de sociologues lors d’une rencontre publique le 27 avril 2016 à Paris. Leurs principales interventions, ici reproduites, donnent des clés pour mieux comprendre.
Crédits: Fondation Jean-JaurèsHervé Favre, éditorialiste politique à La Voix du Nord
Crédits: Fondation Jean-JaurèsDominique Andolfatto, spécialiste du syndicalisme et des mouvements syndicaux, professeur de science politique à l’Université de Bourgogne Franche-Comté
Crédits: Fondation Jean-JaurèsMarion Fontaine, historienne, maître de conférences à l’Université d’Avignon
Crédits: Fondation Jean-JaurèsFlorent Gougou, chargé de recherches à l’Université libre de Bruxelles
Crédits: Fondation Jean-JaurèsLa salle du 12 Cité Malesherbes
Crédits: Fondation Jean-JaurèsLa salle du 12 Cité Malesherbes
Crédits: Fondation Jean-JaurèsLe public de la conférence