Alors que la crise ivoirienne toujours en cours, la politique du pire, encouragée par les excès de communication dont a fait preuve la France, pourrait aboutir au pire des scénario, c’est-à-dire la prise en otage de la communauté française que personne ne sera en mesure de défendre, cette note préconise une voie plus prudent et réaliste et une position de la France qui gagnerait à être moins exposée.